L’aventure commença par cet homme, son nom : Yannick ANAKY, Secrétaire Général du Club des amis de Tabou (CAT). C’était lors d’une réunion
ordinaire dans le mois d’Août de l’année 2015 où il proposa à l’assemblée, un
projet de création d’un magazine avec à l’appui une maquette. Et voici d’où est
parti le déclic : « l’idée m’est venue du fait que j’aime les médias et j’ai voulu une chose innovante pour l’association. Et puisque je fais
un peu les créas j’ai donc pensé à un magazine qui valorisera notre association,
Tabou et le peuple kroumen ». Une idée originale d’un instinct de
passionné que le jeune communicateur réussira à défendre auprès de siens tombés
sur le charme du projet. Et toute suite, les impressions ne se feront pas
attendre mieux l’adoption quasi unanime des membres présents en constituera la
clef de voûte. « Lorsqu’il présentait le projet, j’’étais un peu hésitant au vue
du travail que cela demande mais la maquette m’a séduit et les arguments aussi,
alors je me suis dis pourquoi pas ? » relate Adams TAOULE,
membre du bureau de l’association. C’est
sous cette onction que sortira en septembre 2015 le premier numéro du magazine
sous l’étiquette de CAT Mag avec au menu une chronique, des reportages et
un portrait. Un numéro qui fera le buzz sur la toile en suscitant de vive et
positive réactions en likes et en commentaires d’abord sur facebook et ensuite
le site qui le hissera parmi les posts les plus populaires. Vu le succès de son
lancement, CAT Mag prendra la dénomination de Phare Magazine pour
incarner une vision plus intégrante et rassembleuse. Aujourd’hui Phare Magazine
fait la fierté de tous plus encore celui du peuple kroumen qui y voit dans ses
actions la valorisation de son terroir. C’est ce que nous dit Christian Gnebeyou ,
un fils de la région : « c’est une belle initiative qui vient mettre
en lumière notre culture, je dirai tout ce qui touche au peuple kroumen. Nous
en avons besoin car notre patrimoine est très riche ».
En dépit de ces honneurs, comme il fallait s’y attendre, Phare Magazine connait d’énormes difficultés d’ordre matériel et financière. Conséquence, il souffre de l’irrégularité de ses parutions. Magazine mensuel, celui-ci n’a pu faire paraître que 7 numéros dont un hors série sur les onze (11) escomptés. Une réalité triste qu’explique son Directeur de Publication en la personne de Landry HIE : «Ce que nous faisons demande des moyens pour se doter non seulement d’un vrai site web mais aussi de machines d’impressions pour passer à la version papier. Car notre objectif est de pouvoir couvrir certaines zones clés du département de Tabou. Pour ceux qui n’ont pas le Net c’est compliqué, il faut tenir compte d’eux. Nous lançons donc un appel aux personnes de bonne volonté susceptible de nous accompagner. Il nous faut quitter l’amateurisme pour le professionnalisme. » En attendant que ce cris de cœur trouve un échos favorable auprès des uns et des autres, Phare Magazine continue de satisfaire avec ses moyens. Et même si beaucoup reste encore à parfaire, son audience s’accroît de jours en jours.
Cynthia BLAWA
En dépit de ces honneurs, comme il fallait s’y attendre, Phare Magazine connait d’énormes difficultés d’ordre matériel et financière. Conséquence, il souffre de l’irrégularité de ses parutions. Magazine mensuel, celui-ci n’a pu faire paraître que 7 numéros dont un hors série sur les onze (11) escomptés. Une réalité triste qu’explique son Directeur de Publication en la personne de Landry HIE : «Ce que nous faisons demande des moyens pour se doter non seulement d’un vrai site web mais aussi de machines d’impressions pour passer à la version papier. Car notre objectif est de pouvoir couvrir certaines zones clés du département de Tabou. Pour ceux qui n’ont pas le Net c’est compliqué, il faut tenir compte d’eux. Nous lançons donc un appel aux personnes de bonne volonté susceptible de nous accompagner. Il nous faut quitter l’amateurisme pour le professionnalisme. » En attendant que ce cris de cœur trouve un échos favorable auprès des uns et des autres, Phare Magazine continue de satisfaire avec ses moyens. Et même si beaucoup reste encore à parfaire, son audience s’accroît de jours en jours.
Cynthia BLAWA
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